PRÉSIDENTIELLE : Jean-Marie Le Pen a lancé sur

PRÉSIDENTIELLE : Jean-Marie Le Pen a lancé sur son site de campagne un "appel à tous les internautes" pour l'aider à recueillir les parrainages. "J'en ai besoin pour être le candidat qui dit la vérité et qui veut faire savoir aux Français toutes les vérités qu'on leur cache", explique-t-il.
Si TF1 cherche un remplaçant à Bataille et Fontaine pour animer Y a que la vérité qui compte, la chaîne peut faire appel à Le Pen. Il a visiblement beaucoup de vérités à dire. En plus, il ferait ça à l'oeil.

PRÉSIDENTIELLE : En deux heures de discours à Villepinte, Ségolène Royal a dévoilé son "pacte présidentiel" devant plus de 10 000 militants.

Nous connaissons enfin le programme de Ségolène avec son nouveau slogan "Plus juste, la France sera plus forte". Elle avait pensé à "Avec plus de justitude, la Francitude sera plus fortitude. C'est une certitude". Mais son équipe de campagne a jugé que c'était un slogan de merditude. Bref, pendant deux heures, la candidate socialiste a exposé ses projets pour la France, contenant 100 points, qui n'ont pas tous été évoqués, auquel cas son discours aurait duré deux jours au lieu des deux heures prévues. "Je le veux", "je m'engage", "j'en fais le serment", telles ont été les phrases qu'elle a martelées, sur un ton parfois dramatique, tout au long de son oratoire. En même temps, on l'imaginait mal dire "je m'en branle royalement", "je me tournerai les pouces", "j'en ai rien à péter de vos gueules". Incontestablement, Royal a dû prendre des cours d'art dramatique avec Lambert Wilson et Sylvie Testud, qui étaient présents dans la salle et dont elle a reçu le soutien, pour énoncer son discours. Plusieurs autres acteurs comme Bernard Ménez, Jacques Ballutin et Ophélie Winter se sont proposés pour l'aider mais elle a refusé inexplicablement. Toute de rouge vêtue, Ségolène Royal avait l'air du petit chaperon rouge mais incontestablement avec les dents du grand méchant loup. 

FOOTBALL : Le PSG a renoué avec le succès au Parc des Princes en s'imposant 4-2 face à Monaco.
En regardant les buts monégasques, on a pu s'apercevoir que ce n'était pas Flavio Roma dans les cages mais bel et bien la princesse Stéphanie qui le remplaçait, d'où les quatre buts encaissés par Monaco. A chaque fois qu'un attaquant parisien se présentait devant son but, la princesse Stéphanie écartait les cuisses sans se préoccuper du ballon. Il faut dire qu'elle le voit le mâle partout.